Le blog de la Radio Suisse Romande – signature.rts.ch offre
parfois un bel espace de débat.
C'est à la suite d’une chronique de la journaliste Chrystel Domenjoz (@C_Domenjoz) sur l’importance de Twitter pour alimenter les débats que la réaction d’un auditeur n’a pas manqué de secouer une petite partie de cette communauté. L’occasion pour ce "François" de dire tout le mal qu’il pensait des réseaux sociaux.
C'est à la suite d’une chronique de la journaliste Chrystel Domenjoz (@C_Domenjoz) sur l’importance de Twitter pour alimenter les débats que la réaction d’un auditeur n’a pas manqué de secouer une petite partie de cette communauté. L’occasion pour ce "François" de dire tout le mal qu’il pensait des réseaux sociaux.
Je n’ai pu m’empêcher d’ajouter mon grain de sel.
Monsieur François,
C’est bien mal connaître les réseaux sociaux que d’en parler
de la sorte.
Bien sûr qu’il s’y dit des bêtises, des âneries des
inexactitudes et même des contrevérités. Tout ça, mais surtout tout son
contraire !
Ne pourrait-on pas dire la même chose des journaux et magazines ?
Pourtant, je constate que vous avez bon goût, puisque vous suivez la RSR, j’en déduis donc que les journaux que vous lisez respectent les plus stricts critères de qualité.
Et les livres ? Que de pacotilles, et c'est un euphémisme, se publient chaque année ! J’imagine que votre bibliothèque, elle, est à la hauteur de vos critères également.
Ne pourrait-on pas dire la même chose des journaux et magazines ?
Pourtant, je constate que vous avez bon goût, puisque vous suivez la RSR, j’en déduis donc que les journaux que vous lisez respectent les plus stricts critères de qualité.
Et les livres ? Que de pacotilles, et c'est un euphémisme, se publient chaque année ! J’imagine que votre bibliothèque, elle, est à la hauteur de vos critères également.
Il en va de même pour les personnes auxquelles on s’abonne
sur les réseaux sociaux. Il faut les choisir en fonction de ses critères et de
ce que l’on recherche.
Mais comme on ne condamne pas tous les livres parce qu’il
s’en publie de mauvais, comme on ne condamne pas tous les journaux parce que
certains sont de vrais torchons, comme on n’interdit pas les
crayons, parce que certains s’en servent pour écrire des ordures (comme le
disait un de mes abonnés sur Twitter - @Frechgeist), ne condamnons pas les
réseaux sociaux parce que certains les utilisent mal.
Les réseaux sociaux, comme les crayons, ne sont que les outils et nous sommes responsables du résultat.
Les réseaux sociaux, comme les crayons, ne sont que les outils et nous sommes responsables du résultat.
Alors, merci à Madame Domenjoz de pratiquer un journalisme
intelligent, professionnel et qui incite à la réflexion.
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